Le web déborde d’infos, mais combien nous aident vraiment à apprendre ? On scrolle, on clique, on s’égare. Et le bout de la ficelle ? Il est souvent enterré sous des tonnes de contenu inutile.
🌪️ Trop d’informations, pas assez de clarté
- Saturation cognitive : Le cerveau humain a une capacité limitée à traiter l’information. Trop de données dispersées peuvent créer de la confusion plutôt que de la clarté.
- Manque de hiérarchisation : Le web ne classe pas toujours les informations par pertinence ou fiabilité. On peut facilement tomber sur des contenus contradictoires ou superficiels.
🧩 Fragmentation du savoir
- Connaissances décontextualisées : Lire des bribes d’articles, des posts ou des vidéos sans cadre cohérent empêche de construire une compréhension profonde.
- Absence de fil conducteur : L’apprentissage nécessite une progression logique. Le web propose souvent des morceaux isolés sans lien pédagogique.
🧠 Passivité & Illusion
- Passivité : Lire ou regarder ne suffit pas. L’apprentissage demande de reformuler, d’appliquer, de questionner.
- Illusion de savoir : Accumuler des faits donne parfois l’impression de maîtriser un sujet, alors qu’on n’a pas encore intégré les concepts.
💡 Privilégier la qualité à la quantité
- Structurer la recherche : Se poser des questions précises, suivre des parcours pédagogiques (cours, MOOC, livres).
- Synthétiser et reformuler : Prendre des notes, créer des cartes mentales, expliquer à autrui.
- Privilégier la qualité à la quantité : Mieux vaut une source fiable et bien expliquée que dix pages vagues.